À Propos
Théâtre conférence
Analyse de limites et frontières singulières, projection de vie sur Mars grâce à Mélissa et ses épinards, libération des machines à influencer… et surtout ébauches de solutions à tous les problèmes posés, voilà le modeste sujet auquel s’attaque l’équipe de Frédéric Ferrer, avec panache et ironie.
En mixant des connaissances pointues, une bonne humeur contagieuse, un peu d’histoire, des expériences absurdes, de l’humour anglais au service de la transmission de véritables enjeux scientifiques, cette conférence performative propose de se frayer un chemin au plus près du vivant dans une sorte de kaléidoscope visuel et dramaturgique. « Un mariage réussi entre comique absurde façon Monty Python et transmission de véritables enjeux scientifique. » - L'Humanité
Deuxième volet d’un cycle artistique de vraies-fausses conférences sur l’impact de l’homme sur son environnement, Borderline(s) Investigation #2 détaille jusqu’à l’absurde des faits rigoureusement exacts pour interroger le devenir de l’espèce humaine. « Agrégé de géographie, Frédéric Ferrer enchaîne les spectacles désopilants sur des sujets qui ne le sont pas. [...] Ses performances nous font mourir de rire. Tout en nous alertant le plus sérieusement du monde sur les dérèglements en cours. » - Télérama
Loufoques et brillants, ces artistes-scientifiques posent une ribambelle de problèmes, auxquels ils apportent une multitude tout aussi impressionnante de solutions !
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LA PRESSE EN PARLE
« Ses performances scientifiques nous font mourir de rire. Tout en nous alertant le plus sérieusement du monde sur les dérèglements en cours. Depuis quinze ans, Frédéric Ferrer, comédien et agrégé en géographie, a fait du changement climatique la matière de tous ses spectacles. » Télérama
« Frédéric Ferrer perturbe subtilement, dans ses conférences-spectacles, la cartographie des savoirs établis. » Le Monde
« Le géographe mène l'enquête avec toujours la même rigueur scientifique qui confine à l'absurde et donc à l'hilarité. À la fois drôle, érudit, engagé et désespérant. » Libération
« Le travail de Ferrer est de faire rire avec le pire. Ils et elles ont beau essayer de nous expliquer dans toutes les langues, et surtout celles qui n’existent pas, que si l’on peut pointer les problèmes, on peut trouver les solutions. La direction d’acteurs et d’actrices est totalement clownesque, les idées fusent entre un fond vert et le mendiant de l’amour d’Enrico Macias ! » Toute la culture